Le tyran iranien a ordonné une répression brutale après sa séance photo avec Emmanuel Macron à l’ONU
Subtitle :Le président iranien Ebrahim Raisi a eu une séance photo avec le président français Emmanuel Macron alors que d’autres dirigeants mondiaux n’ont pas commenté sa répression brutale des manifestants.
Par David Maddox – Rédacteur Politique
Text : Liz Truss, Emmanuel Macron et Joe Biden ainsi que d’autres dirigeants mondiaux ont été condamnés pour ne pas avoir agi alors que le régime islamique fondamentaliste en Iran commençait une répression sanglante contre son propre peuple. Le président iranien Ebrahim Raisi se mêlait aux dirigeants mondiaux aux Nations Unies à New York lorsqu’il a ordonné à la sécurité intérieure du pays de réprimer les manifestations de masse à travers le pays contre le meurtre d’une jeune femme Mahsa Amini par la police de la moralité du pays.
Alors que les dirigeants du monde tenaient des réunions dans le bâtiment de l’ONU à New York, Raisi également connu sous le nom de « le boucher de Téhéran », aurait réagi à ces derniers jours de manifestations en ordonnant la fermeture de l’Internet dans son pays pour faire de la répression brutale sur les manifestants sans que le monde extérieur puissent le voir.
Les rapports transmis à Express.co.uk suggèrent qu’il y a un « bain de sang » en cours dans le pays.
Mais alors que les dirigeants, y compris Mme Truss et M. Biden, prenaient leurs séances de photos les uns avec les autres, il n’y avait aucune mention ou condamnation des actions.
La journaliste française et experte du Moyen-Orient Catherine Perez-Shakdam de la Henry Jackson Society a déclaré : « Après la petite séance photo du président français Emanuel Macron avec le boucher de Téhéran (président Raisi), on se demande combien de dirigeants
mondiaux se joindront à une danse aussi macabre, vendant aux promesses de retours financiers alors que les Iraniens tombent morts sous les balles du régime ?
« Il y a des crimes qui ne se rationalisent pas si facilement et des combats qu’il faut entreprendre de peur de devenir ce que l’on abhorre. »
Pendant ce temps, s’exprimant depuis les États-Unis où il reste en exil après son évasion de la République islamique, Amir Fakhravar, une figure éminente de l’opposition iranienne, a déclaré au Daily Express : « Des Iraniens innocents et non armés sont abattus sans raison dans les rues – des hommes, les femmes, les enfants.
Il a poursuivi : « Il n’y a pas de mots pour décrire la pure brutalité dont Téhéran fait preuve en ce moment.
« Le monde ne peut pas continuer à être complice d’une telle abomination, aucun accord ne vaut un mépris aussi profond pour la vie humaine.
« Quand comprendrons-nous qu’il n’y a pas de lignes que le régime ne franchira pas dans sa quête du pouvoir absolu, pas de terreur que ses hommes n’atteindront pas mes compatriotes ou le reste du monde d’ailleurs alors qu’ils ambitionnent d’exporter leur ignoble idéologie ?
« M. Fakhravar a averti que la brutalité en Iran était un problème occidental avec un régime qui est le plus grand sponsor du terrorisme au monde.
Il a dit : « Mon peuple meurt aujourd’hui, le vôtre demain ! Les avant-postes du CGRI (Gardiens de la Révolution) sont répartis dans toutes les capitales occidentales, les agents du régime sont ici parmi nous en attendant que Téhéran les appelle.
« Ils ont menacé vos intellectuels, vos fonctionnaires de l’État, ils contestent la réputation de vos institutions. Il est temps de s’unir et de repousser le régime théocratique de l’Iran.
« Les Iraniens se tiennent nus face aux assauts d’une armée bien entraînée, nous devons honorer leur courage et leur détermination à se tenir libres sur leur terre ?
« Il ne peut plus y avoir de débat ! Le régime iranien est une tache sur le monde que nous devons laver. Trop d’Iraniens sont nés dans la servitude aujourd’hui, ils réclament la liberté. Voulez-vous rester avec nous ? »
Comme l’a révélé Express.co.uk, l’Iran est au bord de la guerre civile et son guide suprême Ali Khamenei serait sur son lit de.